samedi 23 août 2008

Je n’ai pas sommeil

Par Josciene Santos


Les plus jolies choses de la vie on les trouve par hazard.
L’inattendu bain de pluie que lave l’âme,
Le stylo pour écrire des vers sans rimes sur le bras,
Des amitiés sans frontièrs,
La musique que tout dit sur notre vie,
Le parfum que souviens une date,
Des mots pour écrire un poème, on les touve par hazard,
Mais le même on ne peut pas dire des sentiments sous ses vers.
C’est pas par hazard que j’ai envie de crier, de réfléchir, d’écrire.
Si. Tu es loin.
Mais c’est pas par hazard que je te sens proche.
C’est pas par hazard que tu as peur de toi, que je m’inquiète, que je pleure.
Sera par hazard que je reconnais ta voix sur mon oreille quand tu écris « je t’aime » ?
C’est Dieu à dire. Mais je vois plusieurs différences entre le destin et le hazard.

samedi 2 août 2008

Seule, même ensemble

Par Josciene Santos



Deux corps sur le lit. Au plafond, un miroir.
Et deux corps ensembles.
Les pieds se confondent, même grands, même petits.
Ils sont ensembles.
Comme deux corbeaus affamés, les bouches se mordent, se dévorent.
Elles sont ensembles.
Il n'y a pas des mélodies, mais on danse sous un même rythme.
... Mouvements douces.
Ensembles.
...Mouvements accélérés.
Ensembles.
De leurs gorges s'échappent des cris.
Ensembles.
Alors, peu a peu les corps s'éloignent.
Un regarder cherche l'autre... où serait-il?
On pas sait.
On ne peut pas savoir.
Le miroir refléte seulement un corp.
On sens seulement un corp.
Ils ne sont plus ensembles.
Jamais ensembles?

mardi 22 juillet 2008

Le temps ne s'arrête pas - O tempo não pára

Écriture: Cazuza

Traduction: Josciene Santos

Je tire sur le soleil. - Disparo contra o sol.

Je suis fort, je n’ai pas de chance - Sou forte, sou por acaso

Ma mitrailleuse pleine des peines. - Minha metralhadora cheia de mágoas.

Je suis um mec - Eu sou um cara

Fatiguée de courir en marche arriére - Cansado de correr na direção contrária

Sans espoir de podium d'arrivée ou de bises de petite amie. - Sem pódio de chegada ou beijo de namorada.

Je suis plus un mec. - Eu sou mais um cara.

Mais si tu trouves que je suis mis en échec, - Mas se você achar que eu tô derrotado,

Saches que les dés roulent encore - Saiba que ainda estão rolando os dados

Parce que le temps, le temps ne s'arrête pas. - Porque o tempo, o tempo não pára.

Quelques jours oui, quelques jours non, - Dias sim, dias não,

Je survis sans une égratignure - Eu vou sobrevivendo sem um arranhão

De la charité de ceux qui me déteste. - Da caridade de quem me detesta.

Ta piscine c’est pleine des rats. - A tua piscina tá cheia de ratos.

Tes idées ne correspondent pas aux faits. - Tuas idéias não correspondem aos fatos.

Le temps ne s'arrête pas. - O tempo não pára.

Je vois le futur répéter le passé. - Eu vejo o futuro repetir o passado.

Je vois le musée de la grande nouvelle. - Eu vejo um museu de grandes novidades.

Le temps ne s'arrête pas. - O tempo não pára.

Il ne s'arrête pas, non. Il ne s'arrête pas. - Não pára, não, não pára.

Je n’ai pas de date à célébrer. - Eu não tenho data pra comemorar.

Par fois mes jours sont éparpillés - Às vezes os meus dias são de par em par

En cherchant les aiguilles dans les bottes de foin. - Procurando uma agulha num palheiro.

Quand les nuits sont glaciales, il est préférable de ne pas naître. - Nas noites de frio é melhor nem nascer.

Quand celles sont moites notre unique choix est de tuer ou d’être tué. - Nas de calor, se escolhe: é matar ou morrer.

C’est comme ça que nous devenons brésiliens. - E assim nos tornamos brasileiros.

On les appelle voleurs, pédés ou encore junkys. - Te chamam de ladrão, de bicha, maconheiro.

Ils transforment le pays entier en coupe gorges - Transformam o país inteiro num puteiro

Parce pour eux c’est profitable. - Pois assim se ganha mais dinheiro.

Ta piscine est pleine des rats. - A tua piscina tá cheia de ratos.

Tes idées ne correspondent pas aux faits. - Tuas idéias não correspondem aos fatos.

Le temps ne s'arrête pas. - O tempo não pára.

Il ne s'arrête pas, non. Il ne s'arrête pas. - Não pára, não, não pára.





Pour regarder et écouter la musique: http://www.youtube.com/watch?v=-XrBRn1I9N4

lundi 21 juillet 2008

Pour lire et écouter des histoires

Dans ce site, tu pourras écouter des histoires, poèmes etc et les lire aussi.

Regardez:

http://www.litteratureaudio.com/

Bien...et dans le suivant, tu pourras apprendre des argots... hihi

http://www.dictionnairedelazone.fr/?page=download

samedi 12 juillet 2008

Casinha Branca - Petite Maison Blanche

(Gilson e Joran)
Tradução: Josciene Santos


Je marche si seule dernièrement -Tenho andado tão sozinho ultimamente
Que je ni vois pas dans mon devant - Que nem vejo em minha frente
Rien qu'il me donne plaisir. - Nada que me dê prazer.
Je sens de plus en plus loin la félicité - Sinto cada vez mais longe a felicidade
En regardant dans ma jeunesse -Vendo em minha mocidade
Tant de rêve périr - Tanto sonho perecer.
Je voulais avoir dans ma vie simplement - Eu queria ter na vida simplesmente
Une place avec des landes vertes - Um lugar de mato verde
Pour planter et pour cueillir; - Pra plantar e pra colher;
Avoir une petite maison blanche de balcon, - Ter uma casinha branca de varanda,
Un potager et une fenêtre - Um quintal e uma janela
Pour regarder le soleil naître. - Para ver o sol nascer.
De temps en temps je sors en marchant pour la ville - Às vezes saio a caminhar pela cidade
En cherchant des amitiés - À procura de amizade
Je vais en suivre la multitude - Vou seguindo a multidão
Mais je me réserve, en regardant dans chaque visage - Mas eu me retraio, olhando em cada rosto
Chacun a le leur mystère - Cada um tem seu mistério
Leur souffrir, leur illusion. - Seu sofrer, sua ilusão.
Je voulais avoir dans ma vie simplement - Eu queria ter na vida simplesmente
Une place avec des landes vertes - Um lugar de mato verde
Pour planter et pour cueillir; - Pra plantar e pra colher;
Avoir une petite maison blanche de balcon, - Ter uma casinha branca de varanda,
Un potager et une fenêtre - Um quintal e uma janela
Pour regarder le soleil naître. - Para ver o sol nascer.

vendredi 11 juillet 2008

La folie d'un ange - Florent Pagny

Il parle seul envers et contre tous
il parle seul et sa voix est si douce
On l'isole mais il n'a rien fait
On l'isole alors il se tait
Il parle tout seul mais il ne l'est jamais
Les autres s'invitent souvent dans son reflet
On lui colle toutes les solitudes
On l'isole et qu'est-ce que ça change
Qu'est-ce que ça change la folie d'un ange
Et qu'est-ce que ça change
J'ai sans arrêt cette image dans la tête
D'un homme qui s'envole et que l'on arrête
Mais qu'est-ce que ça change la folie d'un ange
Et qui ça dérange
Il a l'air si calme et si bien dans son monde
Où les mélodies et les cris se confondent
On l'isole on ne sait jamais
On l'isole et qu'est-ce que ça change
La folie d'un ange
Qu'est ce que ça change
J'ai ans arrêt des coups à l'intérieur
Quand on me dit que je suis un rêveur
La seule différence entre lui et moic'est que dans son silence il y a des voix
Et qu'est-ce que ça change la folie d'un ange
Et qui ça dérange
Qui ça dérange
pourquoi ça dérange

mercredi 2 juillet 2008

Envie d'être Immortelle








Par Josciene Santos


Quelques jours avant, j'ai écrit un poème, dont le thème était le manque du sentiment à mon intérieur. Pas d'amour. Pas de passion. Pas d'haine. Pas de tristesse. Pas du tout. "Les Mots Simples"
Au côté du poème, j'ai mis une photo.
Dans le prémière moment, cette photo a été seulement une illustration.
Mais j'ai un vice: lire à plusieurs reprises mes textes.
Et, à dépendre de mon état d'humeur, à chaque fois que je les lis, j'ai une impression différent.
Minutes après je l'ai lu un'autre fois.
Le photo est très simples et cette simplicité m'émeut. Elle est douce et sensible, elle me fait soupirer. J'aime les choses simples. Les choses que font mes yeux pleurer, mon âme être inquiet et moi arrêter pour chercher les mots pour décrire mes palpitations.
Je sens désire... J'ai envie d'être immortelle. Pas littéralement.
Pour moi, est une sensation indescriptible d'écouter, de lire, de voir, de toucher dans les choses que ont été faites il y a beaucoup de temps et que encore sont capables d'émouvoir.
Ce que dira de Renato Russo ou Vinícios de Morais avec son Soneto da Fidelidade? Ce que dira aussi de Raul Seixas ou de Cazuza? De Mamonas Assassinas ou de Ailton Sena? De Machado de Assis ou de Cássia Eller?
Écouter leurs musiques ou les réviser à la télévision, lire les choses qu'ils ont écrit font je me sentir petite.
Mais font j'avoir envie d'être grande. Immortelle.
Mon plus grand souhait est émouvoir quelqu'un avec les choses que je suis capable de faire. Même après ma mort.
Je n'aspire pas être célébritée. Ça me dégoûte. Ni émouvoir tout le monde.
Si une larme tomber des yeux d'une personne seulement mon objectif sera réalisé.
Mais pour ça, il faut faire quelque chose spéciale. Mais quoi?
J'essaye, mais je suis pas sur de la direction que je dois suivre.

lundi 30 juin 2008

Maigret et la Vieille Dame

Georges Joseph Chistian Simenon


Par Josciene Santos



Maigret et la Vieille Dame c’est un livre du genre policier, dont le thème principal est l’enquête pour découvrir qui a assassiné une servante de la maison d’une vieille dame. L’histoire se passe dans l’Etretat, au siècle XX, et le récit tourne autour d'une famille de la classe moyenne.
Les personnages principaux sont :
-Le comissaire Maigret Iorsque, qui enquête l’assassinat et découvre l’assassin.
-Valentine Besson, l’assassine.
-Arlette, fille de Valentine Besson et soupçonnée du meurtre.
-Théo, beau-fils de Valentine Besson et l’autre suspect de l’assassinat.
-L’inspeteur Castaing, qui aide Maigret dans l’enquête.

C’est un dimanche quand il y a l’assassinat de Rose Trochu, la servante d’une vieille dame qui s’appelle Valentine Besson. L’assassinat a succedé après la réunion chez Valentine pour commémorer son anniversaire. Toute la famille était réunie. C’est au cours de la nuit, quand toutes les personnes dormaient, que Rose Trochu est morte. La mort a été causée parce qu’elle a bu un verre d’eau censé contenir des somnifères, qui, selon Valentine, était destiné à elle même. Et c’est cette version qu’elle raconte au comissaire Maigret Iorsque, quand elle l’appelle pour découvrir l’assassin.
Valentine Besson était riche dans le passé, mas la fortune s'est réduite à sa maison et à quelques bijoux sans valeur. Donc, la raison de cette tentative d’assassinat ne peut pas être la cupidité et les soupçons se portent sur la fille Arlette, et sur les beaux-fils, surtout Théo parce qu’ils ont une vie privée trouble.
Maigret discute beaucoup avec les habitants de la ville pour découvrir les pistes. Et quand il va chez la mère d’Arlette il retrouve une bague qu’elle aurait dérobée à Valentine. Et le plus intéressant est que cette bague est sertie d’une émeraude véritable. En même temps, un second crime vient d’être commis dans la maison de Valentine en tuant le frère de Rose. Mais pour quoi ?
Maintenant Maigret déjà peut reconstituer ce qui s’est passé : Rose avait compris que les bijoux de Valentine sont authentiques. Alors, cette dame a suprimé Rose en utilisant le vice d'elle de prendre des médicaments. Mais Théo, ami de la servante, représentait encore un danger, donc elle devrait le faire taire. Et c’était lui qui Valentine a essayé de tuer quand elle a assassiné le frère de Rose. Mais la maison était très obscure, donc elle n’a pas vu qui tuerait avec le tir. C’est avec ça que toute l’histoire est découverte.

Maigret et la vieille dame est un livre intéressant et, malgré être du genre policier, dans ses pages il n’y a pas d’action, seulement des interrogatoires. Ça fait le rythme au début assez lent et le lecteur a envie d’arrêter la lecture. L'atout de ce livre est que Maigret ne révèle rien de ses soupçons ni de ses déductions, alors la surprise est grande quand il donne la solution de l’énigme.
George Simenon a su dissimuler très bien dans l’histoire le « qui » et surtout le « pourquoi » du crime et il a utilisé un vocabulaire très clair et compréhensible. Ça rend la lecture facile et l'histoire passionnante.
Mais, pour moi, le passage le plus intéressant est quand il y a l’assassinat du frère de Rose. Dans ce moment, l’histoire reste très intense et l’énigme commence à être démasqué.

Les Mots Simples

Par Josciene Santos

C’est la première fois que j’écris un poème sans rien sentir. Vraiment rien.
Je suis vide, mais ça ne me laisse pas triste. Ni heureuse. Neutre.
Un instant. Il y a une émotion. Je suis sûr. Mais quoi ?
Les mots sautent à l’intérieur de ma tête en éclatant de rire de mes efforts pour les chercher.
Un après l’autre, je les trouve. Pas tous. Ceux qui donneraient un aspect plus raffiné à ce poème sont superbes. Ils ne se laissent pas attraper.
Être transportés sur ce papier n’est leur suffit pas ?
Cela n’importe.
Je préfère croire que la simplicité rend plus belles les choses. Et quand je me sens comme ça – plus simple ou moins complexe – je suis plus heureuse.
Non. Pas plus heureuse : c’est moins triste.
Pas cela non plus. Ah mon Dieu ! Voilà que la complexité retourne.
Je ne veux pas ça, donc je vais dormir – c’est le remède pour mes maux.
Á bientôt.

dimanche 29 juin 2008

Maigret Tend Un Piège (Georges Simenon)


Paris, 4 août. Cinq femmes ont été tuées par quelqu'un dans les rues du quartier de Montmatre. Maigret a la dificil mission d'arrêter ce criminel avant qu'il tue de nouveau. Mais comment le faire? Comment arrêter un assassin si fou et aussi intelligent? Il fallait tendre une piège.
Cela étais l'idée que Maigret avait eu en bavardant aver le Professeur Tissot, un médicin psychiatre qu'il avait conne chez Docteur Pardon, son ami. L'assassin était un orgueilleux et si quelqu'un étais pris à sa place il tuerait encore une fois pour montrer à la policie qu'il était libre et fort. Alors Maigret aurrait la possibilité de l'arrêter.
Le piège a été tendu. Les journalistes y croient et publient que l'assassin a été trouvé. Peu de temps après, voilà, l'assassin se montre. Mais cette fois le criminel a choisi comme victime une des femmes-agent qui étaient prêtes à l'affronter.
L'assassin ne reussit pas son but de tuer la femme mais il échape. Néamoins il laisse une trace qui conduira chez les Moncin. Le piège a marché.
M. Moncin est pris comme le principal suspect. Mais pendant qu'il était dans le bureau de la police judiciaire un nouveau crime est commis.
Et alors? Qui est qui avait tué? Le vrai criminel? Un nouveau? Ou une tentative de tromper la police?
Maigret comprend et résoud la question avec un final surprenant.
Cette histoire policière se passe la moitié du XX siècle parmi la burgeoisie française. Maigret est le héros, un commisaire de la police judiciaire qui, avec ses collègues, Janvier, Longnon entre autres, essaye d'arrêter le tueur qui avait commis les crimes à Montmatre. Le principal suspect, Marcel Moncin, un architecte pas de formation académique, est identifié puisqu'il avait acheté le même tissu de la veste déchirée de l'assassin. Il habite dans une belle et riche maison dans la rue Dufor avec sa femme. Yvone Moncin, quant à elle, est une femme très polie. Elle apareil avant que M.Moncin dans la trame et sa traquillité devant une situation si insolite attire l'attention de Lucas, un autre collègue de Maigret, qui faisait l'intimation à son mari.
Marcel Moncin avait déjà été reconnu par Marthe Jusserand, la femme-agent qui a été atequée par l'assassin, et il étais encore au bureau de Maigret quand surgit un nouveau personnage de grande importance pour la résolution du cas: sa mère.
Mme. Moncin, la mère, habite à Montmartre dans une maison plus simple que celle de son fils. C'est une femme forte et sérieuse, prête a tout faire pour défendre son fils de ces "fous" qui voulaient l'arrêter. Comme ele même dit: "ça m'est égal de mourir pour mon fils".
Le dénouement de ce cas se donne d'une façon très intéresante. Suspense et surprise sont des ingrédients principaux de cette fantastique histoire.

dimanche 22 juin 2008

Télécharger des livres

J'ai découvert un site très bon, où nous pouvons télécharger des livres complètes en français. C'est génial. Il y a centaines des livres des plusieurs auteurs. Maintenant, je lis Les Métamorphoses.

Le site c'est: http://www.scribd.com/doc/91672/GUJAN-BIB-au-20-02?query2=%22piste%20pedagogique%22%20%22avant%20la%20tele%22

et aussi http://www.ebooksgratuits.com/

Regardez...mais vouz devez télécharger et lire aussi. C'est un ordre! rsrs

biz

samedi 21 juin 2008

Une recherche

Par Josciene Santos

J'aime écrire, mais seulement deux chose me font écrire mots belles: être très triste ou très passionnée.
Mais le privilège d'aimer, je ne l'ai pas. Ni d'être aimé. Donc, il y a seulement ces sentiments pour décrire: la tristesse et la solitude.
Pas aujourd'hui.
Je ne vais pas écrire. Ni même un mot.
Je vais chercher un amour pour parler des choses belles e romantiques. Du bonheur et de la passion.


Mais où? Où?






Pas là. Pas là-bas.

À l'intérieur de moi?


Oui... peut-être. Mais c'est foncé... J'ai de la peur.

Mon Cadeau en Retard - part 2


"Aujourd'hui, non!"
Je lui a dit. Je savais que je ne pouvais pas, pas ce jour-là, profiter de mon univers noir de tuiles, où je voyage souvent par des mondes lointains, les galaxies disparus. Il faudrait courrir. Il commence le rituel. évier, trône, boxe, que j'ai cussuré il ya quelques jours, pour des raisons derisoires.Fermé. Il est tout là: shampooing, conditionneur, de l'huile, de sable, presto, clé de fissures, moi. En ouvrant le robinet, je suis plongé. J'ai vu des poissons, des algues, les coraux, poulpes, zenzas ... Un océan de couleurs et les mousses, les odeurs et les lames, des sonneries et ... Oups. Mon morphème flexionel de génre a décidé de tirer un degré. Mais il n'avait pas du temp pour comutation .J'ai Fermé, je me suis seché, ouvert, quitte.
Les vêtements sur le lit, prêt à être habillé. J'avais déjà tout préparé la veille. Après plusieurs échanges et de nouveau, des combinaisons infinis, j'ai décidé de porter chemisier rose. Il m'a amené de bons souvenirs, faites-moi bien. J'ai pris un dernier regard. "Serà-il que ça lui va?". MON CADEAU EN RETARD. C'était, comme ça que tu t'a appelé le jour de mon niver. Mon cadeau. Mais, seullement un jour. Pour moi, une éternité.
Habillé et parfumé, j'ai déjà été. Portefeuille dans la poche, clé en main, les balles, menthe ... Vous m'avez demandé à ne pas oublier ... Ainsi, l'absence de bloc-notes et un livre pour ma mère rester sûre sur où j'allais. "Kiss Mama." Je descend les escaliers avec un nouveau sourire sur le visage. Le temps semblait se prolonger. Je savais que dans une heure, je deviendrais le plus heureux homme dans le monde. Ouvre la porte. J'ai vu des gens qui passé, vivaient leurs habitudes, coûteux fermés. J'ai regardé ses visages et m'a mis à imaginer ce que se passait dans ses ments. Inutile. Ses pensées lui-même des traces. Elles le croient en eux, leurs problèmes dans leur vie. Mais ... je pense à vous. La porte fermée derrière moi. "C'est aujourd'hui." J'ai commencé à aller

Mon cadeau en retard - part 1




D'accord.

C'était la première fois que mon sourire s'est levé tout au long de ma vie. La luminosité de mes yeux a allumé ma chambre sans fenêtre, ce qui semble plus une tombe froide, obscure, silencieuse. J'aime y rester pour penser, pleurer, crier ... dans l'ordre. J'entendais les battements de mon cœur à ce moment-là et, soudain, j'ai vu ton visage flottant dans l'obscurité du plafond. J'étais inspiré fond, fermé les yeux, excité.

Je ne pouvais plus perdre une seconde ce matin-là. L'après-midi m'attendait et le temps tournait sur mon poignet. Il était déjà neuf heures et il y avait beaucoup de choses à faire. J'ai soulevé moi, je me suis habillé, j'ai mis les sandales aux pieds , je me suis sorti. En ouvrant la porte de ma caméra secrete , je rencontre ma mère. Le café était déjà prêt. Je lui avait dit que j'aurais un cours très importante à laquelle je ne pouvais pas arriver en retard. Je lui ai regardé dans ses yeux et j'ai demandé sa bénédiction avec un énorme poids sur ma conscience. ça a pris presque une seconde. J'avais besoin de me dépêcher.

Parmi les vitamines, pain, biscuits, les télé globinhos, étais moi. En effet, je ne sentais pas le goût qui dançait dans ma cavité buccale, beaucoup moins je ne me souviens plus des choses dont mes yeux étaient occupés. Je n'étais pas là-bas. J'étais déjà très loin. Je suis revenu. Il était nécessaires que mon corp compléte. J'ai soulevé le canapé, J'ai mis la vaisselle dans l'évier, j'ai pris les bras derrière le réfrigérateur, en trois étapes. Je suis entré dans la salle de bain. Neuf et demi.

jeudi 19 juin 2008

Activité 10 - Josciene

B: Société Dubreuil, bonjour.
A: Bonjour, est-ce que je pourrais parler à Monsieur Laforêt?
B: C’est de la part de qui?
A: Monsieur Legros, Alfredo Legros.
B: De qu'il s'agit?
A: Je veux parler sur le projet de constrution d’une nouvelle école.
B: Monsieur Lafôret n’est pas là. Vous voulez marquer un rendez-vous avec lui?
A: Oui. Bien sûr. Pour moi ç’est bon vendredi prochaîn.
B: Oui. C’est possible. À 14 heures, c'est bon pour vous?
A: C’est parfait!
B: Le rendez-vous a été noté.
A: Merci. Bonjour
B: Bonjour.

Activité 09- Josciene

Situation 1: Vous déménagez. L’appartement que vous quittez est très propre. Vodus l’alvez bien arrangée (peintura, papier etc.) depuis que vous l’habitez le propriétaire ne veut pas vous rendre la caution car il y a quelques taches sur la moquette. Vous discutez...

Locataire: -Mais monsieur, vous deviez comprendre: moi, je suis sûr que quand j’ai quitté l’appartement il était très propre.
Propriétaire: -C’est pas vrai. Moi, aussitôt que je suis arrivé dans l’appartement j’ai vu des taches sur la moquette et elles sont encore là.
Locataire: -Même si était vrai, vous devez me rendre la caution. C’est mon droit.
Propriétaire: -Vous avez trompé. Bien que je croie que vous n’avez pas fait ça intentionnellement, j’ai besoin de rembourser mon préjudice. Donc...
Locataire: -Donc quoi?! Bien que je ne connaisse pas la Constitution je suis sûr de mes droits. Et je sais que vouz devez me rendre la caution dans ce cas.
Propriétaire: -Donc, je pense que vous ne connaissez pas vos droits, par contre je sais bien ce que je dois faire dans cette situation: appeler la police.


Situation 2: Vous discutez des prochaines vacances avec votre ami(e). Il/elle voudrait aller sur la Côte d’Azur, comme chaque année. Vous aimez beaucoup la Côte d’Azur mais cette année, vous voudriez changer d’endroit.

Carla: Anna, tu sais dejà où tu vas aller dans tes prochaines vacances?
Anna: Pas encore. Tu as quelque idée?
Carla: Bien...Qu’est-ce que tu penses d’aller encore une foi sur la Côte d’Azur? J’ai aimé beaucoup la connaître l’année dernière.
Anna: Moi aussi. C’est très intéressant... pourtant je n’y veux pas aller.
Carla: Pourquoi?
Anna: Bien que j'aie aimé connaître la Côte d’Azur, ces vacances-ci je veux connaître une autre place... peut-être le port militaire l'Arsenal.
Carla: Bien que n'aime pas connaître ces places je suis d’accord. Et je vais avec toi, par contre, tu dois promettre que tu iras avec moi aux Alpes dans les prochaines vacances.
Anna: Oui, bien sûr.

En avant, mon Saint Jean!


Nous sommes proches de la Sain Jean et j'ai recherché un peu sur l'origine de l'influence française dans ça fête-là au Brésil. "Alavantú" (En avant tout), "chemandidama" (chemin des dammes) et "anarrié" (en arrière) sont quelques mots originalement françaises qui sont beaucoup utilisé dans ça fête. En Recherchant dans l'internet, j'ai rencontré le texte suivant au site de l'Université Catholique de Pernambuco :



"Entre as tantas brincadeiras, manifestações culturais, comidas e bebidas típicas em profusão, danças, etc. que caracterizam as festas juninas, a quadrilha ocupa um lugar de excelência. Segundo a pesquisadora, Rita Amaral, “a quadrilha é considerada uma herança do folclore francês acrescida de manifestações típicas da cultura portuguesa. Ela é inspirada na contradança francesa e sua origem, no Brasil, está na chegada da corte real portuguesa, no começo do século passado. Com D. João VI, que fugia do avanço das tropas de Napoleão Bonaparte, além de artistas franceses, como Debret e Rugendas, vieram também os modismos da vida européia, dos quais um dos favoritos era a quadrilha, dirigida por mestres franceses da contradança”. Depois, oportunamente, esclarece termos “estranhos” que ouvimos desde tenra idade, mas que, na maioria das vezes, não conseguimos decodificar o significado: “Muitas das ordens desta dança transformaram-se em comandos típicos da quadrilha “caipira”, como os termos "anarriê" (en arrière, que significa "para trás”) ou "anavã" (en avant, que significa "em frente”), "changedidame" (changer de dame, ou seja, "trocar de dama"), "chemandidame" (chemin de dame, “caminho de damas”) ou "otrefuá" (autre fois), ”outra vez”. Prática, historicamente, repetida, recriada e imortalizada em todos os cantos e rincões do nosso vasto e amado Brasil." *

Alors...

Bonne Saint Jean à tous!!!...
Moi, je vais "changêdidame".



*Pour lire le texte entière, vois http://www.unicap.br/acatolica/mensagens/juninas.htm !
**La peinture c'est "Danse de la Sain-Jean" de Anders Zorn.

vendredi 23 mai 2008

Le Première Bisannuel d'art de l'UFBA

Par Josciene Santos

Le mois de mai, fréquemment associé à la révolution estudiantine de mai 68, a été choisi par les étudiants de l'Université Fédérale de Bahia pour être la borne d'une nouvelle phase de la production artistique de l'UFBA. Entre les jours 08 et 10, la première bisannuelle d'art, design et culture va promouvoir l'interaction entre les écoles d'art de l'Université.

Théâtre, musique, danse et des arts visuels forment un circuit culturel dans les terrains de l'UFBA pendant la bisannuelle, organisée par le Conseil Central des Étudiants (DCE).

PASSAGE: L'objectif de la Bisannuelle est de valoriser les productions culturalles de l'UFBA. Saint de la maison fait du miracle, oui. C'est ce que l'évènement a l'intention de prouver. Là, des étudiants gagnent la scène et se transforment dans les étoiles de la fête. Mais, où sont les étudiants?

SONORE- leader du DCE: Il essaye d'expliquer pourquoi les étudiants n'ont pas adhéré à l'évènement.

Une partie des évènements prévus n'est pas encore arrivé jusqu'à présent.. Des ateliers d'arts et des montres de vidéo qui seraient réalisées dans les Pavillons des Cours de la Fédération (PAF)et du Cannelle (PAC), par exemple, ne se sont pas produitS.

SONORE- l'administrateur du PAF: Il dit que le auditoire a été réservé, pourtant personne n'est arrivé ni pour réaliser l'évènement ni pour le regarder.

Malgré le manque d'organisation et d'adhésion du public, la bisannuelle a signifiée un espace de visibilité pour les talents de l'Université.

(Quelques images d'une présentation très jolie dans la faculté de musique).

vendredi 16 mai 2008

Excentrique

Par Josciene Santos

J’envie les grands artistes qui font de leurs bizarreries inspiration pour créer obres des oeuvres.
Excentrique je le suis aussi.
Mais d’une bizarrerie commune, incapable de faire des grandes choses.
Même pas une belle écriture desinées, ronde, je ne réussis à la faire dans l’obscurité de ma chambre.
Si j’étais une grande poète, le calme et l’anxiété de ce moment fou créerait un poème avec âme, vers et rime.
Mais, pour moi, ces heures ne m’inspirent rien.
Quelque chose essaye de sortir de moi si grande est la laideur de mon intérieur.
J’arrête. Nous combattons. C’est mon âme. Je pense.
Elle est plus faible que moi. Je suis plus forte qu’elle. J’ai besoin de croire.
Ces sanglots qui tombent sur le papier et que je transcris dans des mots ne sont pas mes envies. Ce sont les siens.
À elle qui, égoiste, oublie que le poème est fait avec des vers et des rimes. Pas seulement avec de l’âme.

jeudi 15 mai 2008

Lévi Strauss au Brésil

Il a souvent raconté que tout avait commencé un dimanche de l'automne de 1934, à 9 heures du matin, lorsque le directeur de l'École normale supérieure lui a téléphoné pour lui proposer un poste de sociologie à l'université de São Paulo. Ancien élève de Jeanson-de-Sailly, licencié en droit et agrégé de philosophie en 1931, il enseignait alors dans un lycée de Laon après un bref passage à Mont-de-Marsan. Ce jeune homme sceptique que passionnaient à la fois la géologie, la musique, la littérature, la peinture, l'astrologie, les arts exotiques et l'œuvre de Marx a compris qu'il ne pouvait pas refuser. Ainsi a-t-il traversé l'Atlantique en 1935 pour découvrir le Brésil. « Ce fut l'expérience la plus importante de ma vie. » On mesure mal aujourd'hui ce qu'était alors l'influence intellectuelle de la France en Amérique latine. À l'université de São Paulo, où il avait retrouvé l'historien Fernand Braudel, le géographe Pierre Monbeig et le sociologue Roger Bastide, Claude Lévi-Strauss donnait ses cours en français à des étudiants issus de l'oligarchie locale. Et, comme les voyageurs normands du XVIe siècle, dont les récits captivèrent Montaigne, il ne tarda pas à se « brésilianniser » , soumettant à un examen critique la culture européenne dont il était le représentant.
C'est ainsi que s'est ouverte une ère de démontages structuralistes et d'interprétations pluridisciplinaires dont la répétition mécanique par des disciples maladroits a été une trahison de la démarche de Claude Lévi-Strauss : « Ce que j'aime, ce sont les phénomènes trop négligeables pour exciter les passions humaines, mais qui peuvent quelquefois faire l'objet d'une connaissance rigoureuse. » Rien de moins nihiliste que cette science du divers et de la finitude que ce jeune professeur a eu l'occasion de mettre en œuvre lors de voyages ethnographiques auprès des tribus indiennes du Mato Grosso puis de l'Amazonie entre 1935 et 1939.
Mythes, mœurs, arts, langages, règles de parenté, religion, institutions : tout était fascinant chez les Indiens Caduveos, Bororos, Nambikwaras et Tupi-Kawahibs auprès desquels il apprit à comprendre en profondeur la « pensée sauvage » en envisageant sa structure interne. « Avec l'Amérique indienne, je chéris le reflet, fugitif même là-bas, d'une ère où l'espèce était à la mesure de son univers et où persistait un rapport adéquat entre l'exercice de la liberté et ses signes. » Mobilisé au début de l'année 1939, Claude Lévi-Strauss a retrouvé la France, étreint par mille saudades do Brasil, un pays qu'il ne revit qu'en 1985, à l'occasion d'un voyage officiel de François Mitterrand.
Au lendemain de l'armistice, il n'a pas retrouvé de place dans l'enseignement, frappé par les premières législations antisémites de Vichy. Devenu un « gibier de camp de concentration », il a eu la chance de pouvoir gagner New York, où il a vécu entre 1941 et 1944, au milieu d'autres intellectuels et d'artistes exilés tels que Jacques Maritain et André Breton. Ainsi s'est ouverte l'autre période fondatrice de sa vie, à la New School for Social Research et à l'École libre des hautes études.

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