dimanche 28 septembre 2008

Le petit lapin de la Pâques

Par Josciene Santos


Le dernier recherche pour savoir la prétention de vote de la population de Salvador concernant les candidats a position de préfet, réalisée pour l’Institute Datafolha, qui a écouté 1008 personnes entre 25 et 26 septembre, a été divulguée samedi, 28 septembre, en montrant qu'il y a égalise technicien entre les trois principaux canditats : Walter Pinheiro (PT), João Henrique (PMDB) et ACM Neto (DEM).

Sécond l’enquête, le deputé fédéral Neto a 25% des intentions de vote et il est techniquement égalisé avec l'actuel préfet João Henrique, qui a 23%, et aussi avec le député Walter Pinheiro, qui a 21%. La marge d’erreurs est de trois points de pourcentages, pour plus ou pour moins.

Le même égalise est vu quand on réalise la simulation d’un problable second tour.

Le candidat Hilton Coelho, malgré de n’avoir eu une bonne colocation dans l’enquête (4%) est aussi confiant concernat son candidature et dit que le résultat ne réflet pas ce qu’il voit dans les routes.

Qui sera vraiment le candidat qu'aura son prédilection confirmée dans les urnes on saura seulement dans le jour 04 octobre, mais les différents résultés montrés par les enquêtes réalisées par le Datafolha et par l'IBOPE ont déjá aidé la population de Salvador de percevoir que changer son inténcion de vote à cause des résultats des enquêtes est la plus grande demonstration de naïveté.

L’enquête réalisé pour L’IBOPE et engagée par le Rede Bahia a été divulguée le jour 25 septembre, en présentant le résulté suivant : ACM Neto conduit avec 27% des intentions des votes, après vient Antônio Imbassay avec 18%, João Henrique avec 15%, Walter Pinheiro avec 13% et finalement Hilton Coelho, avec 1% de la préférence des électeurs.

En qui croire, en l’IBOPE, en l’Institute Datafolha ou il faut ne pas croire? Les nombres sont très différents.


Candidat--------------------- Résultat sécond l'IBOPE------ Résult sécond le Datafolha

ACM Neto---------------------27%--------------------------25%
Walter Pinheiro----------------13%--------------------------21%
Antonio Imbassahy------------18%--------------------------15%
João Henrique-----------------15%--------------------------23%
Hilton Coelho-------------------01%-------------------------04%


Croire dans les enquêtes c’est le même que croire dans le lapin de la Pâques ou en Papa Noel ? :d

mardi 23 septembre 2008

La fleur de la Route

Poème - Tiago Neves

Traduction - Josciene Santos


Les choses s’arrivent très vite

Sans les gens les attendre

Qui pouvait prévoir ça?

Qui en pouvait imaginer?


D’ici je peux te voir

Assise dans le même lieu

En souirant quite

…Mais tu es pas là bas


Tu habites dans des coeurs

Je te laisse sous les soins de Dieu

Pour que tu te reposes en paix

Ensemble aux tiens


Je n’ai pas dit adieu à ton beau visage

Je n’ai pas dit adieu à toi

Mais je remercie par le courte période

Dans lequel j’ai pu te connaître


Il va naître une fleur dans la route

Pour rendre hommage à toi, ma partenaire

Nous ne t’avons pas perdu, puisque

Tu as fait simplement le voyage vrai


(… Et où il y a encore des bonnes souvenirs, il y a encore la vie ...)



Extrait de l’Oeuvre “Confeitaria” du Tiago Nevec. Tous les droits sont réservés.

Extraído da obra "Confeitaria" de Tiago Veloso Neves. Todos os direitos reservados.


La traduction de ce poème ci est dans l'espace pour les commentairs. Voyez vous mêmes.

A tradução deste poema está no espaço para comentários. Vejam vocês mesmos.

Un mascotte dans la lutte contre le cancer




Le CEHON personnalise la lutte contre le cancer avec un mascotte


Par Josciene Santos,
adapté de la revue digitale Salvador Acontece



Un habitant du espace aterrit dans le Centre d'Hématologie et d'Oncologie de Bahia (Cehon), depuis d'octobre a fin d'intensifier la lutte contre le cancer. Le personnage, créé par le traceur Luis Augusto, représente la proposte d'humanisation des soins préconisée par la clinique d'oncologie , situé à Canela et qui achève 11 années dans le mois prochain. Vendredi dernier, 12, la directrice des relations institutionnelles de Cehon, Anabel Silva Carvalho, a présenté le mascotte à l'équipe de fonctionnaires de la clinique, les premières à connaître le numéro zéro de la publication. La Campagne pour le baptême du personnage a déjà commencé. Les patients vont également aider à donner le nom du nouvel hôte, qui a la forme d'un poulpe. Le mollusque est le prédateur naturel des crabes, qui sont considérés comme le symbole du cancer.


Le magazine, sous la forme de bandes dessinées, sera distribué aux patients, aux fonctionnairs et aussi à le personnel médical. L'attente pour le lancement de la bande dessinée, prévue pour octobre, mois où il est commémoré la Journée du médecin, est déjà grande. «Notre mascotte va venir pour accueillir les patients et pour coopérer avec le traitement», parle animée Anabel Silva Carvalho. Dans la petite histoire, le mascotte provient d'une planète où il n'ya pas des maladies. En plus de ne pas avoir les cheveux, ainsi comme des nombreux patients atteints d'un cancer, le poulpe est un exemple de surpassement. Avec un grand pouvoir de régénération, ses tentacules sont une métaphore des bras qui reçoivent et caressent, exactement comme le mascotte de Cehon va faire avec les patients de la clinique. "Chacun de ses huit bras représente un important sentiment que aide à la cure: l'espoir, l'éthique, la solidarité, la compassion, la vérité, la foi, la confiance et l'amour", explique la directrice des relations institutionnelles de Cehon.

Le lancement de la bande déssinée s'arrivera en octobre, le mois d'anniversaire de la clinique d'oncologie.

La traduction de celle matière ci est dans l'espace pour les commentairs. A tradução desta matéria está no espaço para comentários.

samedi 6 septembre 2008

IPRAJ - 'les coulisses' du Pouvoir judiciaire

Par Josciene Santos
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"La justice est lente!", a affirmé Ana Ferreira, 30, résidente à São Cristovão, sans avoir eu besoin de temps pour réfléchir, quand elle a été questionnée au sujet du fonctionnement de la Justice dans la capitale de Bahia. Bien qu’elle ne se rappelle pas avoir jamais fait appel aux services des institutions liées à la Justice, elle n’a pas de doute sur cette affirmation et réitère : "Ce qu’on voit , ce sont des gens qui courent derrière ces bureaux pendant plusieurs mois, perdant du temps, de l’argent et à la fin devenant très frustrés".

Bien que l’affirmation de Ana Ferreira ait du fondement, Bahia peut être considéré l’Etat pionnier en ce qui concerne la création d’un organisme spécialisé et indépendant idéalisé pour diminuer les charges administratives du Secrétariat Général du Tribunal de Justice et du Secrétariat de Justice de l’État de Bahia et, par conséquent, à avoir contribué à augmenter le dynamisme des activités de ces organes.

L’Institut Pedro Ribeiro d’Administration Judiciaire – IPRAJ – a été créé em 1984, ayant été la première expérience au Brésil d’un organe entièrement destiné à donner support administratif aux institutions liées à la Justice. À cause d’avoir comme but l’autonomie par rapport aux autres organes de ce domaine, l’IPRAJ fonctionne de façon autarcique, comme médiateur. En conséquence, Bahia compte sur un institut sans nature juridictionnelle ou tipicité judiciaire responsable de faire attention à la complexité et à l’expansion de ces services qui étaient dispersés avant entre le Secrétariat Général du Tribunal de Justice et le Secrétariat de Justice de l’État de Bahia.

Augusto Menezes, comptable de l’IPRAJ, décrit cet organe comme étant "les coulisses", le support qui rend possible le complet fonctionnement du Pouvoir judiciaire. Selon lui, il y a un sens commun des idées reçues en ce qui concerne la Justice : "Les gens ne voient que le juge et le personnel de l’étude de notaire. Ils ne veulent savoir que si la justice marche ou ne marche pas, mais, qu’est-ce qu’il y a derrière tout cela ? Comment tout cela fonctionne ? Comment les salaires sont payés ? Comment l’étude de notaire est informatisée ? Comment les immeubles sont construits ? D’où viennent les ressources ? Qui paie les fournisseus ? Qui fait la licitation ? Tout ce procès est fait par l’IPRAJ, depuis l’administration jusqu’au contrôle et la surveillance de la collecte des impôts".

Les services de l’IPRAJ ne se concentrent pas dans la capitale. Ni la collecte des ressources. Bien qu’une grande partie de l’argent rassemblé par l’institut arrive de sources variées, une quantité considérable est obtenue des études de notaire éparpillées dans tout l’État. Pourtant, dans deux ans, selon Menezes, cette somme ne sera plus rassemblée par l’IPRAJ : "Dorénavant cette somme devra être fournie par l´État. Mais je pense que la population va perdre avec le manque de cette collecte", a expliqué Augusto Menezes.

Les bons résultats de l’Institut, en ce qui concerne la surveillance et l’administration exercées sur les organes juridiques – en contribuant à un plus grand dynamisme dans les actions de ceux-ci – ont inspiré d’autres États, par exemple, le Rio Grande do Sul et Santa Catarina, qui, selon Menezes, ont essayé de copier l’IPRAJ, mais n’ont pas obtenu de succès : "Je crois que les autres États souffrent de ne pas avoir un IPRAJ", a affirmé Augusto Menezes.

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