dimanche 9 octobre 2011
Que fale agora ou se cale para sempre
jeudi 25 août 2011
Vida nova no Pará
jeudi 26 mai 2011
Brochante
Páginas empoeiradas retiradas de dentro de uma velha caixa
Onde eu costumava guardar textos já lidos,
Missões já cumpridas,
Batalhas já vencidas,
Um passo adiante em uma guerra que tinha limite mínimo de quatro anos para findar.
Acabou.
E não sinto saudade -
Aliás, nem poderia senti-la.
Vitoriosa, sigo, errante, pelo mesmo caminho.
Lições didaticamente aprendidas,
Mas e daí?
Ontem baixei um livro de Allan Kardec.
Olhei as primeiras páginas,
Mas não as li
Medo do novo?
Do que não sei se entenderia?
Pode ser...
Medo de mim.
É que às vezes tenho sonhos
E às vezes esses sonhos concretizam-se.
...
Tenho vontade de entender.
E receio.
Vou fugir de Kardec por uns dias.
Enquanto isso, me concentrarei aqui com aquelas velhas páginas empoeiradas,
Buscando atrativos para gozar uma leitura brochante.
Cultura, crítica, massa, cultura, indústria, ideologia, cultura, reificação, dialética, fetiche, cultura, consumidor, semiformação, alienação, cultura.
E mais um ano e meio de batalha e serei mestre.
(E daí?)
Préférez-vous lire en français? Voilà!
Lumière douce
Pages poussiéreuses enlevés de l'intérieur d'une vieille boîte
Où j'avais l'habitude de garder des textes déjà lus,
Des missions déjà accomplies,
Des batailles déjà réussies,
Un pas en avant dans une guerre qui avait le limite minime de quatre ans pour finir.
Et voilà, on y est arrivé
Et je ne sens pas de nostalgie -
D'ailleurs, je ne la pourrais pas sentir.
Vainqueur, je continue, en manquant, par le même chemin.
Leçons didactiquement apprises
Mais et alors?
Hier, j'ai téléchargé un livre de Allan Kardec.
J'ai regardé leurs premières pages,
Mais je ne les ai pas lus
C’est à cause de la peur de la nouveauté?
De ce que je ne sais pas trop si je comprendrais bien?
Peut être ...
La peur de moi.
C'est juste que parfois je fais des rêves
Et parfois, ces rêves se concrétisent.
...
J’ai envie de comprendre
Et crains.
Je vais m’enfuir de Kardec pendant quelques jours.
Pendant ce temps, je vais me concentrer ici avec ces pages poussiéreuses,
En cherchant attractivé pour jouir une lecture peu passionnante.
Culture, masse, critique, culture, industrie, idéologie, culture, réification, dialectique, fétichisme, culture, consommateurs, érudition, aliénation, culture.
Et encore plus un an et demi de bataille et je vais être un maître.
(Et alors?)
vendredi 8 avril 2011
Conversa em monólogo
jeudi 7 avril 2011
Pouco a pouco, lentamente
Eu quero. Mas não pode, Josci (!)
lundi 4 avril 2011
À l'intention de mon bébé
Maintenant un sourire
Une envie d'être juste à ta côté
De comprendre ce que tu voulais me dire
De tout oublier et donc t'aimer
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La traduction de ce poème est dans l'espace pour les commentaires
vendredi 1 avril 2011
Blessée
A tradução está em "comentários"
La traduction est dans l'espace pour les commentaires
jeudi 31 mars 2011
Parece um desabafo. Quem dera fosse um poema
Não entendo por que o céu tanto me destrata.
Digo sim, mas não me entrego.
Deito-me. Antes de domir, oro.
Ao acordar, raramente rezo.
lundi 10 janvier 2011
mercredi 27 octobre 2010
Le Canada et le Brésil renforcent leurs liens dans le domaine de l’enseignement supérieur
mercredi 15 septembre 2010
Festival littéraire Québec en toutes lettres: un feu d'artifice d'activités
vendredi 10 septembre 2010
Le retour de madame Josci
Bien.. j'écris rien avec rien donc c'est meilleur boire du café et laisser ce blog pour demain. Je suis vraiment fatiguée. À bientôt!
jeudi 9 septembre 2010
Le Chant des voyageurs
A nous les bois et leurs mystères,
Qui pour nous n'ont plus de secrets !
A nous le fleuve aux ondes claires
Où se reflète la forêt,
A nous l'existence sauvage
Pleine d'attraits et de douleurs !
A nous les sapins dont l'ombrage,
Nous rafraîchit dans nos labeurs.
Dans la forêt et sur la cage
Nous sommes trente voyageurs.
Bravant la foudre et les tempêtes
Avec leur aspect solennel,
Qu'ils sont beaux ces pins dont les têtes
Semblent les colonnes du ciel !
Lorsque privés de leur feuillage
Ils tombent sous nos coups vainqueurs,
On dirait que dans le nuage
L'esprit des bois verse des pleurs.
Dans la forêt et sur la cage
Nous sommes trente voyageurs.
Quand la nuit de ses voiles sombres
Couvre nos cabanes de bois,
Nous regardons passer les ombres
Des Algonquins, des Iroquois.
Ils viennent ces rois d'un autre âge,
Conter leurs antiques grandeurs
A ces vieux chênes que l'orage
N'a pu briser dans ses fureurs.
Dans la forêt et sur la cage
Nous sommes trente voyageurs.
Puis sur la cage qui s'avance
Avec les flots du Saint-Laurent,
Nous rappelons de notre enfance
Le souvenir doux et charmant.
La blonde laissée au village,
Nos mères et nos jeunes soeurs,
Qui nous attendent au rivage,
Tour à tour font battre nos coeurs.
Dans la forêt et sur la cage
Nous sommes trente voyageurs.
Quand viendra la triste vieillesse
Affaiblir nos bras et nos voix,
Nous conterons à la jeunesse
Nos aventures d'autrefois.
Quand enfin pour ce grand voyage,
Où tous les hommes sont rameurs,
La mort viendra nous crier : Nage !
Nous dirons bravant ses terreurs :
Dans la forêt et sur la cage
Nous étions trente voyageurs.
mercredi 27 mai 2009
Le soleil de ma matin
Le soleil s’élève par l’horizont.
Il semble être un beau jour de mai.
Dans mon bras, mon petit fils,
Ça fait déjà 6 ans qu’il est né
De détail en détail,
Il me raconte les dessins des nuages dans le ciel:
Un grand éléphant camouflé de chameau,
Une pyramide plus Jolie que La tour eifel.
Ce que mes yeux aveugles ne peuvent plus regarder,
Mon fils aide ma tête à les imaginer.
Et a chaque mot qu’il dit,
C’est comme si j’avais de nouveau le pouvoir
De voir.
Si sa bouche ne se ferme pas,
Ne s’arrête pas,
Mes pensées marchent encore plus vite.
C’est un train contre une charette
Qui ne s’arrête, qui ne s’arrête, qui ne s’arrête pás.
Qui conduit ce train?
C’est pas mes yeux, mais ma vision.
Et mon regard va plus loin…
Je vois ce que je ressens:
L’envie d’aller ailleur, Toucher le soleil, La lune,
Faire une bise aux étoiles, Être leur capteur.
Courrir, danser, regarder dans vos yeux sans me tromper de direction//
Sera ça possible?
Quelqu’un a dit: Il faut désirer pour y arriver.
Je complète: il faut désirer, rêver, lutter sans conditions.
Lutter contre le temps, envers les préjugés, contre la file, la désinformation, l’égoisme, la peur.
Affronter ma peur.
Demain sera un autre jour .
Il y aura sûrement un soleil, mais deux matins.
Une jeune fille quitte ce monde et m’offre ses yeux pour un meilleur lendemain
Mais il faut attendre, me dit l’homme en blanc,
On ne sait pas encore si vous êtes compatible.
Anxiété indescriptible!
Je sens mes expressions se transformer à chaque mot que le médicin dicte.
Je l´écoute, mais je ne comprend rien.
Je ne fais qu’imaginer son visage, Le mouvement de sa bouche, ses gestes.
Comme si j’étais mon petit fils qui desinne sur les nuages,
J’essaie de voir la forme des mots compliqués de son language.
Code génétique : deux rangées de petites balles liés par des traces
Génome: celui-ci est plus dificille. J’en ai marre!
J’abandonne ce jeu, mais je garde l’éspoir.
Je rêve de ce jour dont, en faisant un clic de l’óeil, je pourrai lire dans vos regards plusieurs histoires.
Rien n’est sûr.
Mais l’espoir doit être pèrenne, même si la vie est si incertaine.
Dans ce monde ceux qui ont des yeux peuvent tout regarder
Mais le claire de terre, même avec les yeux fermés, je peux l’imaginer, le toucher.
dimanche 14 décembre 2008
Le Déclin du Empire Américain et Les Invasions Barbares
Les Invasions Barbares est aussi une comédie dramatique realisée par Denys Arcand. Il est possible d’affirmer que ce film est une continuation de Le Déclin de l’Empire Américain. Produit em 2002, on peut voir en Les Invasions Barbares la situation de la santé au Québec. Tous les hospitals sont devenu publiques et n’importe combien de l’argent on a, il faut recourrir à le service publique pour faire le traitement au Québec. Pourtant, ce système de santé ne peut pas supporter la demande croissante et on a une crise en ce que concerne à la santé.
mardi 9 décembre 2008
Henri Salvador

Sa carrière a commencé dans les cabarets parisiens, en 1933. Ses talents de musicien mais aussi d’humoriste le font connaître et apprécier du public. En 1935, il joue au Jimmy’s Bar, cabaret renommé de l’époque et tout de suite Django Reinhardt l’engage alors comme accompagnateur. C'état le début d'une brillante carrière.
Il fuit la France où la guerre s’étend en 1941 et il n’y reviendra qu’après la capitulation de l'A'llemagne. Alors, de décembre 1941 à décembre 1945, ila fait partie de l’orchestre de Ray Ventura lors de son séjour en Amérique du Sud — Brésil, Argentine, Colombie, Uruguay, etc. Il y exerce ses talents de guitariste-chanteur et de comique avec une imitation de Popeye. C'est là qu'il connaît son premier succès personnel, "sauvant" la première soirée de l'orchestre de Ray Ventura au casino d'Urca (Rio de Janeiro) par son imitation de Popeye puis l'interprétation de Maladie d'amour. Il participe en 1949 au film Nous irons à Paris de Jean Boyer aux côtés de l’orchestre de Ray Ventura, des Peter Sisters, de Martine Carol et d’autres vedettes de l’époque.
1949 c'est un anné trés important pour lui. C'est lá qu'il obtient le grand prix du disque de l’Académie Charles-Cros et passe à l’ABC, le temple des music-halls parisiens, dans la revue de Mistinguett Paris s’amuse. C’est là aussi qu’il rencontre laquelle qui s'a devenu son épouse et son entrepreneur, Jacqueline.
Par la suite, il s'a devenu chanteur. Dans ces albums on peux trouver une combination des chansons très fantaisistes et des chansons douces, bien que le grand public se montre plus enthousiaste sur les premières.
Mais, dans les années 1980 et 1990, sa carrière a connu une éclipse Il a passé même alors auprès des jeunes pour un musicien « ringard » et la télévision ne le montrait plus. Le chanteur se consacre alors surtout à la pétanque dont il est un joueur de haut niveau. Il publie un album de bande dessinée sur le sujet, Passion… Pétanque, et invente même des boules.
Seulment en 2000, il a l'ocasion de revenir au sommet avec son disque Chambre avec vue et son titre phare : Jardin d’hiver grâce à l'aide de Keren Ann et Benjamin Biolay sous la houlette d'un jeune producteur Marc di Domenico.
En octobre 2006 son dernier album, intitulé Révérence, sort et en 21 décembre 2007, il met fin à sa carrière active lors d’un dernier spectacle donné au Palais des congrès de Paris.
jeudi 27 novembre 2008
Camille Bazbaz, mon chanteur préféré

lundi 17 novembre 2008
je suis morte
je ne vis plus
comme un'arbre fanée que peu à peu laisse ses feuilles tomber sur le sol
le monde n'est pas fait pour moi, maintenant j'y vois. rien de ça doit être pour moi
j'ai envie de me jéter de la fenêtre de ma chambre
mais je n'ai pas le courage. je suis faible. plus une fois faible
je ne veux plus de ça
j'attends je perd j'ai envie de mourir je n'ai pas le courage de le faire. non. je ne veux plus de ça
plus de rien
rien de moi
rien de la vie
rien des gens
je ne detèste pas le monde. non. mais je réusse à voir qu'il ne m'aime pas trop
alors, je ne vais pas insister en tout ça, que c'est rien en vrai
j'attend la courage. je crois que pas maintenant, mais un jour, je suis sûre, elle y arrivera. je l'attend.